Comme je l'écrivais dans mon précédent billet, je pense que le moment où il est devenu très chic de suivre une série télé a coïncidé avec l'arrivée de Friends. Même Télérama était dithyrambique, c'est dire. Je n'étais pas vraiment dans la cible selon les publicitaires, puisque déjà jeune maman, mais cette histoire de 6 colocs trentenaires de Manhattan m'était plutôt sympathique même si les rires en boîte me tapaient un peu sur le système.
Pendant quoi, 10 ans ? - nous avons vécu en symbiose avec Phoebe la foldingue, Rachel la fille à papa immature, Monica la-première-de-la-classe (qui annonçait déjà Bree van de Kamp), Ross le bonnet de nuit, Chandler le roi des vannes vaseuses et Joey, le neuneu si drôle. Curieux phénomène que cette série qui a fédéré les générations à tel point que ma fille en connaît aujourd'hui les répliques par cœur.
Puis, il y eut les dimanches soirs en famille devant Urgences à ne rater sous aucun prétexte. J'ai néanmoins lâché au bout de quelques saisons, les personnages principaux abandonnant le Cook County les uns après les autres, il me semble me souvenir que je suis restée fidèle jusqu’au départ de John Carter. J'ai néanmoins eu l'immense plaisir de retrouver depuis une vieille amie perdue de vue quelque 10 ans plus tôt.
Toujours à Chicago, Carol Hattaway a perdu ses cheveux frisés et ses improbables bonnets, et a troqué sa blouse rose d'infirmière contre des Louboutin et des tailleurs-pantalons. Elle est devenue Alicia Florris une avocate quadra à la classe folle qui ne veut plus être juste une "Good Wife" (son mari, un procureur à l'éthique douteuse est l'ex-Mister Big de Sex and the City mais je m'égare...).
La grande affaire de cette décennie, c'est bien sûr Desperate Housewives dont le dernier épisode vient d'être diffusé. Comme dans la chanson, nous avons toutes en nous quelque chose de Bree, Lynette, Susan et Gaby. Il va falloir maintenant apprendre à vivre sans elles. Heureusement, nous avons Mad Men, encore un OVNI du Paf, qui en plus a le mérite de nous ramener à ces années 60 de notre enfance. Ainsi, de Delphine Nadal à Don Draper, on peut dire que la boucle est bouclée ...
Pendant quoi, 10 ans ? - nous avons vécu en symbiose avec Phoebe la foldingue, Rachel la fille à papa immature, Monica la-première-de-la-classe (qui annonçait déjà Bree van de Kamp), Ross le bonnet de nuit, Chandler le roi des vannes vaseuses et Joey, le neuneu si drôle. Curieux phénomène que cette série qui a fédéré les générations à tel point que ma fille en connaît aujourd'hui les répliques par cœur.
Puis, il y eut les dimanches soirs en famille devant Urgences à ne rater sous aucun prétexte. J'ai néanmoins lâché au bout de quelques saisons, les personnages principaux abandonnant le Cook County les uns après les autres, il me semble me souvenir que je suis restée fidèle jusqu’au départ de John Carter. J'ai néanmoins eu l'immense plaisir de retrouver depuis une vieille amie perdue de vue quelque 10 ans plus tôt.
Toujours à Chicago, Carol Hattaway a perdu ses cheveux frisés et ses improbables bonnets, et a troqué sa blouse rose d'infirmière contre des Louboutin et des tailleurs-pantalons. Elle est devenue Alicia Florris une avocate quadra à la classe folle qui ne veut plus être juste une "Good Wife" (son mari, un procureur à l'éthique douteuse est l'ex-Mister Big de Sex and the City mais je m'égare...).
La grande affaire de cette décennie, c'est bien sûr Desperate Housewives dont le dernier épisode vient d'être diffusé. Comme dans la chanson, nous avons toutes en nous quelque chose de Bree, Lynette, Susan et Gaby. Il va falloir maintenant apprendre à vivre sans elles. Heureusement, nous avons Mad Men, encore un OVNI du Paf, qui en plus a le mérite de nous ramener à ces années 60 de notre enfance. Ainsi, de Delphine Nadal à Don Draper, on peut dire que la boucle est bouclée ...